L'auteur, que Allah lui fasse miséricorde, a dit :
Chapitre : Parmi les conditions de la prière, il y a se purifier des najaçah, sur le corps, les vêtements, l'emplacement de la prière et ce que l'on porte sur soi, comme par exemple une bouteille que l'on aurait dans la poche. Si on est touché, soi-même ou ce que l'on porte, par une najaçah, la prière est annulée, à moins qu'on s'en débarrasse immédiatement ou bien qu'elle soit tolérable, comme le sang de sa propre blessure.
Il est un devoir d'éliminer toute najaçah non tolérable en éliminant sa substance et en faisant disparaître ses caractéristiques, à savoir le goût, la couleur et l'odeur, avec de l'eau purificatrice.
Quant à la najaçah non perceptible : on l’élimine en faisant couler de l'eau dessus. La najaçah non perceptible est celle dont on ne détecte ni couleur ni goût ni odeur.
Quant à la najaçah canine et porcine, on l’élimine en lavant sept fois l'endroit souillé avec de l’eau, dont une fois en mélangeant l’eau avec de la terre purificatrice. Les lavages qui font disparaître la substance comptent pour un seul lavage même s'ils sont nombreux.
Il est une condition que ce soit l'eau qui arrive sur l'endroit à purifier si l'eau est en petite quantité.
chapitre suivant : les conditions de validité de la prière